Le Cayin N5 est le deuxième baladeur audiophile de la marque, jusqu’alors spécialisée dans les appareils sédentaires et plus spécifiquement à tubes. Si le premier N6 nous avait charmé par ses performances sonores, son ergonomie nous avait laissé sur notre faim. Plus compact, plus léger, moins onéreux, le Cayin N5 rencontrera-t-il le succès attendu ?
Prise en main
Le Cayin N6 était gros, massif, avec un design qui ne pouvait pas laisser indifférent. Le gros hublot en façade, le dos en carbon qui rappelait le AK240 et surtout un poids important, même pour un baladeur audiophile.
Le N5 corrige, en partie ces défauts. 30% plus compact et 20% moins lourd, il entre de justesse dans la catégorie des baladeurs audiophiles poids moyens (FiiO X5, iBasso DX80) avec un poids de 195g. Les arrêtes sont tranchantes et le design global reste dans la lignée du N6, un pic étrange entre modernité et design daté, proche d’un Hifiman dans l’idée.
L’écran fait exactement la même taille que sur le précédent modèle et la qualité ne bouge pas, un écran qui n’est foncièrement pas mauvais, mais qui fait tâche face aux appareils concurrents, tous passés à l’IPS eux. La lisibilité est bonne de face, mais de côté le contraste s’estompe rapidement. Ce ne sera sans doute pas gênant pour la majorité des utilisateurs, mais sur un baladeur de cette gamme, ça fait un peu tâche.
Exit le trèfle de sélection, Cayin part cette fois-ci sur une roue de sélection à droite, et des boutons de validation à gauche. Plus simple, c’est aussi plus logique que sur le Cayin N6, ou la roue de contrôle sur la tranche n’était pas forcément plus ergonomique que le trèfle. Sur notre modèle de test, la roue était plutôt lâche, ce qui occasionne souvent des erreurs de sélections. La marque nous a heureusement corrigé ce défaut sur les modèles de production finale.
Les menus sont identiques à ceux du N6, mais Cayin a restructurer l’apparence générale pour mieux coller au format du baladeur. On dispose encore une fois de plusieurs thèmes, qui changent l’apparence du menu principal ainsi que la couleur du fond d’écran. Si le fond jaune rend la lecture plus simple, le menu, représentant un violoncelle n’est pas des plus clairs. Le fond bleu, avec le faible taux de contraste, ne permet pas toujours de lire distinctement le nom de la piste, mais le menu principal se révèle plus simple, plus ergonomique. On aurai aimé un mix des deux.
La prise en main est plutôt bonne, le dos ayant l’avantage d’avoir des arrêtes arrondies tandis que la façade avant présente ces fameux bords tranchants. L’écran décentré est une petite bizarrerie, pour quoi ne pas avoir proposé un écran un peu plus grand qui fait toute la largeur ? Était-ce juste une contrainte technique ou vraiment un choix de design ? Le mystère reste entier.
A sa base, on retrouve un clapet en plastique qui protège les deux ports micro-SD ainsi qu’une prise USB 3.0 (une première !) sans être un « Game changer » cette option permet de transférer la musique à des débits autrement plus élevés et surtout, de recharger l’appareil beaucoup plus rapidement, car oui, le Cayin N5 se recharge relativement lentement…
Pour finir, on retrouve sur la tranche droite le réglage du volume et au sommet les trois sorties audio : une sortie casque 3.5mm/sortie ligne, une sortie balanced en 2.5mm et enfin une sortie coaxiale en 3.5mm.
Il est maintenant temps de jeter un œil aux entrailles de ce baladeur.
Caractéristique techniques
S’il y a un domaine qui est sujet à débat (au delà des traditionnelles joutes câbles/vinyles) c’est bien le DAC. On le rappelle, cet acronyme signifie « Digital to Analog Convertor », en bref c’est lui qui transforme les bits en Beats ( retrouvez moi tous les jours en One Man Show à la boutique). Le but étant d’obtenir un résultat le plus proche possible de l’enregistrement initial. C’est d’ailleurs la un autre débat, avec la démocratisation des albums en 24 bits, qu’est-ce qu’un bon DAC ?
Nous ne répondrons pas ici à cette question, mais toute cette introduction nous sert à une seule chose : le DAC du Cayin N5 est réputé pour être l’un des meilleurs du genre (AKM AK4490).
Ce même DAC est utilisé en double mono sur le AK380, un modèle TRÈS haut de gamme disponible chez Astell&Kern. Alors certes, le fait qu’il soit réputé ne veut pas pas dire que tout le monde va aimer, mais dans le cas présent, les chiffres parlent d’eux même et seul Sabre propose des modèles aussi bons sur le papier. Mais bon, la théorie et les résultats sont toujours variable, certains smartphones sont de véritables bombes sur le papier, mais déçoivent en pratique. Pareil chez les baladeurs.
Nous avions déjà testé cette puce AKM sur les DAC sédentaires de la marque (Cayin I-DAC6) et les Astell&Kern AK300 et AK320. Plus doux dans son rendu que les puces Sabre elles nous avaient fait fortes impressions avec un rendu proche des DAC Sabre ESS 9018 justement.
L’ampli utilisé est un ensemble de quatres BUF 634U. Un modèle très proche de celui utilisé dans le Cayin N6, réputé pour sa puissance particulèrement élevée rendant possible l’utilisation de casques sédentaires à forte impédance/faible sensibilité. Avec 300mW + 300mW @ 32ohms (en balanced) il y a de quoi alimenter sans effort 90% des casques du marchés. Ces spécifications sont celles du Cayin C5 qui était déjà une pointure dans son domaine
Pas de mémoire embarqué sur l’appareil, uniquement de la carte micro-SD, mais bonne nouvelle le N5 dispose de deux slots soit pas moins de 256Go de musique voir 512Go si vous voulez craquer pour deux cartes de 256Go. La compatibilité USB 3.0 permet de copier la musique aux débits maximums permis par les cartes, bien pratique si comme nous vous avez une musicothèque assez fournie.
Le SNR promis est de 108dB pour un THD inférieur à 0.005%, la encore des valeurs plus qu’ honorables, surtout quand on constate que celui-ci ne varie que très peu avec des casques à fortes impédance. La tension de sortie est de 2.1 Vrms, ce qui est standard pour une sortie ligne, on pourra le relier à un ampli externe ou même à des enceintes auto-amplifié. Le THD augmente de 0.001% en balanced, ce qui est négligeable.
Au niveau de la batterie, Cayin a intégré une Li-Po de 4200mAh, ce qui se traduit par un poids en main de 195g. Cela le classe directement dans la tranche haute avec le Cayin N6 mais l’appareil étant parfaitement équilibré, la sensation d’avoir un objet massif renforce la qualité perçu de l’objet. Abstraction faite de son design, atypique. L’autonomie annoncée est de 9h ce qui est en dessous de la moyenne des baladeurs audiophile, mais avec une si grosse batterie le N5 nous réserve peut-être une bonne surprise, qui sait !
Au niveau de la compatibilité de lecture, le Cayin N5 gère bien évidemment les flux 16bits/24bits jusqu’à 192khz. Il est compatible DSD64 et DSD128 et gère nativement les ISO SACD et FLAC. Comme sur les autres appareils, il suffit de copier directement les dossiers dans la carte mémoire en drag & drop et le Cayin se charge du reste.
Dernier point concernant la recharge : c’est très long. Pas moins de 2h30 avec un chargeur 2.1A, et deux fois plus encore si vous branchez simplement l’appareil en USB sur votre ordinateur. Les baladeurs ont encore du progrès à ce niveau, surtout quand on voit de plus en plus d’appareils dotés de la charge rapide en quelques minutes.
Un petit tableau pour les amateurs de chiffre :
Caractéristiques techniques
DAC | AK4490EQ |
MCU | Dual Core 600MHz Ingenic Xburst JZ4760 |
PLD | SA2000 |
Volume | PGA2311 |
Spécifications | |
Casque | 200mW+200mW @ 32 ohm (SE); 300mW+300mW @ 32 ohm (BAL) |
USB-DAC | Asynchronous USB up to 24bit/192kHz |
Volume Control | 0-99 |
Gain | High/Low (+6dB) |
Channel Balance | -10~+10; +/- 10dB |
Egaliseur | 10 bands, +/- 10dB |
Gestion de la batterie | Auto Power Off, Backlight time off, Breakpoint Resume |
Interfaceet stockage | |
Ecran | 2.4” TFT 400×360 IPS |
Sortie analogique | 1x 2.5 mm (BAL headphone) 1x 3.5 mm (headphone/line) |
Sortie digitale | 1x 3.5 mm S/PDIF (coaxial) |
Touches physiques | 1x Roue de contrôle + 1xEnter/Play/Pause Button 3x Touches de navigation Volume (+) Volume (-) Menu |
Langues | English, French, German, Thai, Japanese, Chinese (Traditional, Simplified) |
Stockage | 2x micro-SD card (up to 256GB) |
Sortie casque (Bal) | |
Puissance de sortie | 300mW+300mW @ 32 ohm |
Réponse en fréquence | 20-20kHz ( ±0.2dB,Fs=192kHz );5-50kHz ( ±1dB,Fs=192kHz ) |
THD+N | 0.006% ( 1kHz,Fs=44.1kHz;20Hz-20kHz,A-Weighted ) |
Plage dynamique | 108dB ( 20Hz-20kHz,A-Weighted ) |
SNR | 108dB ( 20Hz-20kHz,A-Weighted ) |
Sortie casque (SE) | |
Puissance de sortie | 200mW+200mW @ 32 ohm |
Réponse en fréquence | 20-20kHz ( ±0.2dB,Fs=192kHz );5-50kHz ( ±1dB,Fs=192kHz ) |
THD+N | 0.006% ( 1kHz,Fs=44.1kHz;20Hz-20kHz,A-Weighted ) |
Plage dynamique | 108dB ( 20Hz-20kHz,A-Weighted ) |
SNR | 108dB ( 20Hz-20kHz,A-Weighted ) |
Output Imp. | 0.26Ω |
Line Out | |
Output Level | 2V ( @10kΩ ) |
Freq. Response | 20-20kHz ( ±0.2dB,Fs=192kHz );5-50kHz ( ±1dB,Fs=192kHz ) |
THD+N | 0.005% ( 1kHz,Fs=44.1kHz;20Hz-20kHz,A-Weighted ) |
Dynamic Range | 108dB ( 20Hz-20kHz,A-Weighted ) |
SNR | 108dB ( 20Hz-20kHz,A-Weighted ) |
Coaxial Out | |
Niveau de sortie | 0.5Vp-p ( @75Ω; 1.0Vp-p ( unloaded ) |
Impédance de sortie | 75Ω |
Formats supportés | |
DSD | DSD64 (DSF, DFF), DSD128 (DSF, DFF), SACD ISO |
WAV | Up to 24bit/192kHz |
FLAC | Up to 24bit/192kHz |
ALAC | Up to 24bit/192kHz |
AIFF | Up to 24bit/192kHz |
APE | Up to 24bit/192kHz |
WMA | Up to 24bit/96kHz |
AAC | Supported |
OGG | Supported |
MPEG | MP2; MP3 |
Batterie | |
Capacité de la batterie | 4200 mAH |
Chargeur | 1.5A |
Power LED | Flashing: Charging |
Autonomie | ~ 9 hours |
Temps de charge | ~ 3 hours (with 2A Charger, not provided) |
Tension de charge | <=1500mA when charge with 2A Charger, <=500mA when charge with computer USB port |
Dimensions | |
Dimensions | (L) 64mm (H) 111mm (W) 16.4mm |
Poids | 195g |
Bundle et accessoires
Les marques chinoises ont toujours proposés des bundle plutôt complet sinon pléthoriques. Le Cayin N5 fait figure de bon élève sans pour autant être une tête de classe. On a en vrac :
– Le baladeur Cayin N5
– un câble USB 3.0
– un câble jack -> Coaxial
– la housse en silicone
De quoi se brancher à un ordinateur et le protéger, on espère que Cayin proposera une housse en cuir pour son appareil prochainement.
A l’usage
Le Cayin N5 est un mix entre le FiiO X5ii et le Cayin N6, la roue de contrôle située sur la droite se voit épaulée de trois boutons de contrôles sur la gauche plus un bouton de validation en plein centre de la roue.
La roue n’est pas crantée ce qui peut occasionner des erreurs de manipulation lors du défilement mais fort heureusement, sa petite taille limite le problème. La face arrière, légèrement biseautée, facilite la prise en main et on peut utiliser le Cayin N5 d’une seule main, les boutons étant suffisamment proéminents pour que l’on puisse les utiliser même en aveugle.
Les boutons de volumes tombent aussi sous le pouce (pour les gauchers) ou sous l’index (pour les droitiers). Par contre, le petit bouton M situé sous les touches de volume prêtera souvent à confusion. Il sert à afficher un menu d’options « rapides » : réglage du gain, mode de lecture (aléatoire, continu, répétition), favoris…
L’écran n’est pas parfait et manque de contraste, pas gênant pour la majorité des utilisateurs, surtout pour un lecteur audio, mais pour les mal voyants, je conseillerai de choisir un thème contrasté ou la navigation ne sera pas aisé. Petite bizarrerie esthétique, l’écran ne fait pas toute la largeur de l’appareil et une tranche rainurée jouxte l’écran.
Depuis la dernière la mise à jour, l’interface a gagné en fluidité et le Cayin N5 n’a plus à rougir face à la concurrence. Il a même quelques avantages comme la présence d’une prise symétrique 2.5mm TRRS, unique dans cette gamme de prix. L’utilisation de celle-ci prends le dessus sur la sortie 3.5mm par contre, donc impossible de brancher deux casques en même temps.
Enfin, le switch gain élevé/faible est immédiatement accessible depuis la page « lecture en cours » est une délivrance, changement qui nécessite souvent de passer à travers les menus de l’appareil sur d’autres lecteurs.
Avec ses menus simples mais à l’aspect un peu « vieillot », ce baladeur va cliver, certains apprécieront la simplicité des menus et la fluidité de l’interface quand d’autres bouderont une prise en main un peut trop « à l’ancienne ».
Le son
A l’instar des nouveaux baladeurs Astell&Kern, le Cayin N5 est équipé d’un DAC AKM et cela s’entend. Sans trop de détour, le Cayin N5 est clairement dans le haut du panier des appareils nomades de cette gamme.
Très précis, chaque intonation est parfaitement ciselée. On s’écarte du Cayin N6, plus porté dans le bas du spectre (et avec brio) et on ira chercher du côté d’un AK300, ce qui n’est pas surprenant. Même en allant chercher la petite bête le Cayin N5 est dur à prendre en défaut, la distorsion est absente, même à haut volume. C’est d’ailleurs le principal point fort des appareils Cayin, l’amplification est très bien gérée et même en branchant des intras sensibles, le bruit résiduel reste nul. Certains ont eut des interférences sur des casques de 16 ohms, mais ce n’est pas mon cas.
La scène sonore est large, plus que sur le FiiO X5 ou le Astell&Kern JR et moins que sur le Ibasso DX80. On ne retrouve pas encore l’effet « Behind the ears » mais on s’en approche pas mal, surtout avec un casque de salon. Pour gagner encore un peu plus, il reste possible d’utiliser la sortie symétrique mais tous les casques ne se prêtent pas à ce petit jeu et les résultats peuvent être inférieurs à la sortie casque 3.5mm standard.
Comme sur tous les appareils doté d’un DAC AKM ou Sabre, il n’y a pas d’emphase sur une plage de fréquence particulière, du moins via la sortie ligne. Via la sortie casque, le Cayin aura tendance à légèrement favoriser les médiums, mais seul les plus sensibles d’entre vous le sentiront. C’est propre, précis sans non plus sonner trop sec comme certaines puces Sabre ESS, une version ++ des DAC Cirrus dirons nous.
La sortie symétrique est au format 2.5″, ce qui comment à devenir une norme. en terme de puissance, à réglage identique, un casque branché en symétrique sonnera 30% plus fort (valeur arbitraire). Sur certains casques la scène gagne en profondeur mais c’est encore une fois du cas par cas et j’ai souvent été plus charmé par les intras que les casques une fois branché en symétrique.
Dans cette gamme de prix, le Cayin N5 se positionne comme l’appareil le plus performant sur le plan sonore à l’heure actuelle. La qualité des timbres et de la restitution des nuances est surprenante, surtout par rapport à ses concurrents direct qui auront tendance à forcer un peu le trait sur les haut-médiums.
Pour aller plus loin
Le Cayin N5 utilise une batterie Lithium de 4200mAh, ce qui est plutôt costaud. L’autonomie tourne autour des 10h malgré tout, la faute à un circuit en bi-amplification plutôt mastoc. La puce de décodage SA2000 n’a jamais failli et le Cayin N5 a su lire tous nos fichiers sans sourciller : FLAC, ALAC, WAV, MP3, AAC et surtout DSD (64 et 128 !).
La puissance de sortie est impressionnante et le Cayin N5 n’aura aucun mal à faire vibrer les membranes de tous les casques du marché, avec 4 puces BUF634U le baladeur sort 200mW @ 32ohms par canal et 300mW @ 32ohms par canal en sortie symétrique. Un Sennheiser HD800 ne lui a pas posé de problème et même s’il faut forcément pousser un peu plus le volume, aucune saturation dans les extrêmes aigus/graves ne s’est fait sentir.
La prise USB 3.0 est une bonne idée sur le papier, mais le câble n’est pas encore très commun, surtout à l’ère du Type-C qui tend à se démocratiser dans les mobiles modernes. Les vitesses de transferts sont par contre réellement en hausse et il ne sera plus nécessaire de recourir à un adaptateur externe pour copier toute sa musicothèque sur carte .
Compatible avec la fonction USB-DAC, le Cayin N5 offre exactement les mêmes performances qu’en usage nomade, pas de réglages particuliers à réaliser sur MAC, et il suffira d’installer le driver ASIO sur PC pour profiter de celui-ci.
Comparé au FiiO X5ii, le Cayin N5 semble plus précis sur les médiums et les voix mais moins tranchant sur les aigus. La scène sonore est plus large sur ce dernier, le FiiO X5ii semble ainsi beaucoup plus « frontal » avec des instruments et des voix centrés face à l’auditeur.
Comparé au Ibasso DX80, la comparaison est moins facile. La différence dans les aigus est immédiatement palpable, mais la qualité de restitution des timbres est plus subtile. Testé sur Currency of men de Melody Gardot, le Cayin N5 jouit d’un meilleur rendu sur les voix, mais le Ibasso DX80 saura séduire les amateurs d’aigus ciselés, le N5 étant beaucoup plus doux sur les extrêmes.
Conclusion
Le Cayin N5 est un appareil ambivalent, excellent sur le plan sonore, son design robuste et son interface rustique pourra dérouter. Mais ce serait dommage, car ils passeraient à côté d’un des tout meilleurs baladeurs audiophile dans cette gamme de prix, si ce n’est le meilleur. Capable de driver tous les casques, doté de deux slots micro-SD et d’une sortie symétrique, il sera parfait pour l »audiophile à la recherche d’un appareil sans compromis sur le plan sonore. En tout cas, nous on l’a adopté !
A propos de Cayin
Cayin Audio est une marque premium déjà bien connu dans le monde des produits audio sédentaire haut de gamme. Après les amplis à tubes et les lecteurs haut de gamme, la marque s’estlancé depuis deux ans sur le marché des produits nomade, ils réussissent itération après itération à développer des appareils reconnus pour leur performances sonores exceptionnelles.
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