[Test]iBasso DX200 : laissez faire les pros !

Le iBasso DX200 est enfin disponible, le saint-graal des baladeurs audiophiles Sabre. Double DAC ESS version Pro, Android, ampli échangeable, double oscillateur et j’en passe. Bon ne perdons pas plus de temps et allons au test !

Un peu d’histoire

10 ans. 10 ans déjà que iBasso conçoit et produit des appareils audiophiles. Si tout a commencé avec des amplis casques aux noms particuliers (Boomslang, vraiment ? ) la marque a réussi à se tailler une place de choix parmi les constructeurs 100% made in china.
Après une série d’ampli-DAC, connus et reconnus, ils se sont lancés dans le baladeur audiophile, avec succès ! A leur sortie, les iBasso DX50 et DX90 ont été des best-seller, combinant un format compact, une excellente qualité de finition, une ergonomie agréable et surtout de très bonnes performances sonores.

Le baladeur est plus massif que le DX80, mais c’est pour la bonne cause !

Mais bien avant ces deux lecteurs, iBasso avait lancé un appareil bien plus typé, le iBasso DX100 (ou HDP-R10 hors europe). Une grosse brique de 3 cm d’épaisseur mais déjà mû par Android (une première à l’époque) capable d’alimenter de véritables casques sédentaires sans sourciller. Si désormais les écrans tactiles sont la norme, à sa sortie, le DX100 était une sorte d’extra-terrestre se négociant à plus de 1000€, une somme déraisonnable à l’époque !

Mais, comme pour une concept-car, le DX100 était plus un tour de force qu’un produit grand public. Sortie optique/coaxial, sortie casque, 64gb de mémoire interne, Bluetooth 2.1, sa propre application de lecture iBasso et même une sortie ligne pour s’en servir en DAC nomade ! Ah dernier point, le DX100 disposait d’une sortie 6.35mm, en natif. Un baladeur vraiment tourné vers les casques à forte impédance, comme le Colorfly C4, une pointure de son époque lui aussi.

Premier contact avec le iBasso DX200

Le iBasso DX200 reprend l’essence du DX100, mais dans un format beaucoup plus civilisé. L’écran occupe toujours l’intégralité de la face avant mais désormais c’est une dalle IPS haute résolution, très réactive de surcroit. Légèrement surélevé, l’écran est cerclé d’aluminium, un matériau qui compose 90% de l’appareil.

C’est d’ailleurs l’un de nos principaux regrets, si les baladeurs Astell&Kern et même le dernier FiiO X5 sont dotés en série d’un dos en verre, le DX200 conserve son dos en aluminium.
Non pas que la qualité soit mauvaise, bien au contraire, mais le verre a toujours cet effet « premium ».

Pas de boutons en façade comme sur les iBasso DX50, DX90 et DX80. On les retrouve sur la tranche latérale, ce sont les classiques boutons : play/pause, avance rapide/piste suivante , retour rapide/piste précédente.
Juste au dessus on retrouve le potentiomètre de volume, plus épais que ceux auquel nous avions l’habitude, il est très fluide et peut se régler d’une main sans soucis. On aurait aimé un crantage un peu plus fin malgré tout, l’aspect final est un peu brut de décoffrage.

Les touches physiques ont basculés sur la tranche désormais.

Sur la tranche opposé, on trouve l’unique slot micro-SD. Et oui, un seul slot ! Alors même que le DX80 en proposait deux, le DX200 n’en propose plus qu’un seul. C’est devenu le triste lot des baladeurs haut de gamme, que ce soit FiiO avec son X7, Astell&Kern et sa série AK3xx ou même Cowon avec le Plenue S, tous ces baladeurs n’offrent plus qu’une seule entrée SD.

Au sommet, on retrouve les entrées et sorties numériques. En l’occurrence, un port USB Type-C qui sert à la recharge et au transfert de fichiers. Compatible OTG, il est toujours possible de relier une clé USB ou un support de stockage externe sur cette prise pour augmenter l’espace disponible.
La sortie numérique est elle aussi toujours de la partie, au format jack 3.5mm, elle sort aussi bien en coaxial qu’en Toslkink.

La base est la section la plus intéressante de ce nouveau baladeur iBasso. Comme FiiO et son X7 ou Hifiman et sa série HM-8xx, le DX200 dispose d’une base d’amplification amovible et échangeable. Utilisant une connexion Sata (et donc bas niveau) il suffit de swapper la base pour changer d’ampli casque et donc de rendu sonore global.

Chaque option est maintenant correctement illustrée.

D’origine, le iBasso DX200 est fourni avec le module AMP1 disposant de trois sorties distinctes :
– une sortie casque standard en jack 3.5mm
– une sortie casque symétrique en 2.5mm TRRS
– une sortie ligne en jack 3.5mm (un bypass en gros)

Pour l’heure, les autres modules sont toujours inconnus, mais à la sortie de ce test je pense que iBasso aura déjà présenté deux nouveaux modules d’amplification.

UI et navigation

Fluidité. C’est clairement l’adjectif qui décrit le mieux à ce baladeur. Le iBasso DX200 nous a bluffé à ce niveau, bien qu’il s’agisse d’une version non définitive du firmware, nous n’avons quasiment pas rencontré de plantage ou de lag intempestifs. Les menus se chargent automatiquement et le centre de notification glisse sans effort.

La nouvelle interface graphique est beaucoup plus plaisante.

L’application de lecture Mango (iBasso Player) conserve la navigation latérale propre à la marque, mais tout est (beaucoup) plus rapide. Quand on clique sur un icône, aucune latence. Le défilement des menus se fait sans accros, un peu comme sur un iPhone on soupçonne la juxtaposition de frames noirs pour donner cet effet de fluidité.
Le revamp graphique est très réussi, avec des effets de fondu, ou de flou gaussien qui permettent au premier coup d’oeil de savoir si une option est activée ou non.

Le scan des fichiers est efficace, une carte micro SD de 128go, gorgée à ras bord de musique, a pris 2 fois moins de temps que le X5iii pour être scannée. Pour les puristes, la navigation par fichier est toujours possible et même si il n’y a toujours pas de mode recherche, vous pourrez atteindre le bas de la liste sans ralentissements.

Accessoires fournis

Le iBasso DX200 est fourni avec les accessoires suivants :

  • – le baladeur (logique)
  • – une protection d’écran
  • – un câble coaxial
  • – un câble de rodage
  • – une housse de protection

Caractéristiques techniques du iBasso DX200

TOTL : Top Of The Line. Néologisme anglophone qui désigne un appareil chapeautant l’ensemble de la gamme. Le best of the best.

Le iBasso DX200 représente le pinnacle technique de la marque, elle a donc décidé de se donner les moyens de ses ambitions en développant un tout nouveau circuit audio.

Le processeur est plus puissant et dispose de 8 coeurs pour faire tourner la dernière mouture d’android sans faillir. Ce processeur ARM est épaulé par 2GB de ram LPDDR3, largement suffisant pour l’usage auquel le lecteur est destiné. Le stockage embarqué est de 64GB, largement suffisant pour emmener plusieurs centaines d’albums en FLAC, mais une fois en HD l’espace se remplit beaucoup plus vite.
Android d’ailleurs passe en version 6.0, mais toujours sans accés direct au playstore. Il devrait être disponible dans une prochaine mise à jour.

Android Stock permet d’installer tout un tas d’applications.

Le plat de résistance, c’est bien sûr le double DAC ESS Sabre 9028 Pro, leurs caractéristiques complètes sont disponibles ici  mais pour résumer :
135dB de dynamique
– un rapport signal/bruit de 125dB
– un taux de distorsion harmonique à -114dB
– un décodage en natif des flux 32bits / 384khz

Monté en double mono, on obtient 16 canaux au total (8 par DAC) ce qui laisse pas mal de marge pour réduire le crosstalk et donc améliorer l’image sonore.
Si les DAC AKM sont de plus en plus populaires, les DAC Sabre gardent pour eux une précision et une neutralité rarement égalés. Du moins c’est la théorie, nous verrons si cela se confirme dans la pratique.

Le PCB est composé de 6 couches plaquées or et iBasso a travaillé consciencieusement à effacer les pertes de courants. Les horloges proviennent d’Accusilicone et fonctionnent à la Femtosecond pour éliminer le peu de jitter que les DAC auraient pu laisser.

La majorité des condensateurs utilisés sont made in Japan et certifiés « low ESR » ou faible résistance dans la langue de Molière. Les OP-Amp, les résistances, tout comme les filtres sont de « qualité militaire » comme les carte mère de PC haut de gamme.

Pour faire l’interface entre l’ordinateur et le baladeur, iBasso utilise une puce XMOS et un driver Thesycon USB. Rien de surprenant ici mais cela veut dire qu’il est possible d’utiliser le DX200 en DAC sur un PC et de faire transiter des fichiers DSD sans crainte.

L’écran est tactile, capacitif et sa diagonale atteint 4.2″. Sa définition est de 1280×768 ce qui est supérieur à la majorité des baladeurs de cette gamme,seul Pioneer et Onkyo font aussi bien à ce niveau. La dalle IPS est de bonne qualité et les angles de visions sont suffisamment ouverts pour prétendre à la catégorie haut de gamme.

Le nouveau processeur possède 8 coeurs et 2 Go de ram.

Le iBasso DX200 gère les réseaux wifi 2.4Ghz et 5Ghz, cette dernière bande offrant un débit bien supérieur, nous avons réussi à transférer des fichiers directement en wifi à grande vitesse.
Le Bluetooth 4.0 gère le protocole APT-X ce qui permettra de s’affranchir du fil avec un casque nomade, bonne nouvelle pour ATH et sa série DSR9.
Petite parenthèse même si l’aluminium donne un aspect mastoc à l’ensemble, nous n’avons jamais été confronté à la moindre interférence en RFI avec l’appareil.
Le blindage est donc de bon aloi, ce qui est une très bonne chose.

Dernier point, le baladeur décode tous les fichiers audio en 16 bits et 24 bits mais lit aussi les DSD, jusqu’au DSD256. Pas de downsampling ou de conversion PCM, lecture en natif.
L’autonomie annoncée est de 9h avec la batterie de 4400mAh, mais l’autonomie peut varier en fonction de l’ampli utilisé.

Spécification techniques

  • Sortie symétrique 2.5mm
    Tension de sortie : 6Vrms
    Réponse en fréquence : 20Hz-20KHz -0.16dB
    Rapport Signal Bruit:125dB
    Crosstalk: -122dB
    THD+N: < 0.0002%, -114dB (64Ω@3Vrms)
  • Sortie casque 3.5mm:
    Tension de sortie 3Vrms
    Réponse en fréquence : 20Hz-20KHz -0.16dB
    Rapport signal bruit:122dB
    Crosstalk: -118dB
    THD+N: < 0.00032%,-110dB (32Ω@1.8Vrms)
  • Sortie Ligne :
    Output voltage 3Vrms
    Frequency Response: 20Hz-20KHz -0.16dB
    Signal to Noise Ratio:122dB
    THD+N: < 0.00025%,-112dB
Les réglages de filtrages numériques sont pléthoriques !

Caractéristiques techniques

Ecran : 4.2 pouces 768*1280
Batterie : 4400mAh
Dimensions : 5.1L x 2.7W x 0.77H (inch) // 128.5L x 69W x 19.5H (mm)
Poids : 240g or 8.5oz

Et le son ?

Si nous ne sommes pas entièrement convaincus par le design du iBasso DX200, il nous est impossible d’être insensibles à ses qualités sonores. C’est… excellent ! Et pourtant nous sortons tout juste du test du FiiO X5iii (qui conserve sa place de champion en rapport qualité/prix) qui nous avait déjà bluffé. Mais bon, on va développer, ne soyez pas impatients.

La signature est, sans surprise, très neutre sans bosses et sans emphases. Sans être non plus ennuyeux, ce n’est pas un baladeur qu’on classera dans la catégorie « musical » aka signature en V.
Par contre, la précision du rendu est chirurgical, c’est bien simple avec les Unique Melody Maestro, nous avons pu redécouvrir des détails sur des pistes pourtant maintes fois éprouvées. Le rendu final est très proche du AK320/380 justement, mais bien plus large.

Nouvel égaliseur graphique avec deux fréquences en plus sur le DX200.

Il est possible de modifier le rendu avec les multiples filtres digitaux intégrés, nous l’avons laissé en configuration d’origine mais libre à vous de choisir le réglage qui vous corresponds. Si précédemment le roll-off n’avait que peu d’impact, sur cette mouture les différences sont plus facilement audibles.

Le iBasso DX200 ne pousse pas sur le grave, si votre casque est léger sur les graves pas de surprise, il n’en créera pas plus. L’ensemble est très cohérent et il n’est pas nécessaire de se concentrer pour aller chercher du détail.
Les basses sont puissantes, très sèches et feront la joie des possesseurs d’intras à armature. Il devient de plus en plus dur de départager les baladeurs haut de gamme sur le grave, la montée en puissance des pré-amplis intégrés ayant fait d’énormes progrès.

Les médiums sont moins poussés que sur les baladeurs en DAC AKM, les voix sont plus calmes et surtout moins proches. Sur du Jazz vocal, on perd un peu de présence et de proximité mais il est plus facile de se représenter la scène sonore. L’équilibre tonal et la balance est immédiatement palpable, si l’ingé son a choisi de décentrer l’interprète, le DX200 lui fera justice.
En léger retrait par rapport aux autres baladeurs testés, les médiums flattent moins l’oreille et nous sommes prêt à parier que beaucoup d’entre vous risquent de jouer de l’égaliseur lors des premières écoutes.

Les aigus sont très précis, chirurgicaux même, sans pour autant tomber dans l’excès qui pourrait occasionner de la sibillance. Testé avec le Sennheiser HD800S cette fois, le rendu est magistral, la scène sonore gigantesque et la qualité des timbres rivalise avec une installation de salon. Il y a quelques appareils qui font mieux, mais ils sont aussi beaucoup plus cher que ce DX200.

Le réglage de la balance gauche droite est plus précise aussi.

Avec l’ampli d’origine (AMP1) le son est très propre, la dynamique restant le principal point fort de ce lecteur. L’aération et la profusion de détails lui permet de boxer avec les ténors du genre, même si certains souhaiteraient une scène sonore peut-être moins large mais avec plus de profondeur, surtout sur les médiums.

Dernier point, nous allons aborder le sujet de la prise symétrique. Devenu la norme, nous étions impatient de tester ce DX200 doté d’un double DAC Sabre Pro avec un casque symétrique justement.
Sur mes intras, câbles en 2.5mm TRRS et socket MMCX/2Pin, le changement opère essentiellement sur les détails et les médiums. Plus percutants, les guitares/voix sont plus naturelles et l’écoute, bien que toujours aussi linéaire, semble plus vivante. Pas de changement au niveau de la dynamique et du souffle, mais nous atteignons peut-être nos limites….

Sur le HD800, câble en symétrique via le truchements d’adaptateurs XLR 4pins ->TRRS 2.5mm l’apport est déjà bien plus sensibles. Le gain en puissance ne nécessite pas de comparaison très poussées, les timbres sont plus justes, la scène sonore s’élargit encore et surtout le casque semble respirer. Non pas que le DX200 semblait le limiter auparavant, mais le gain en puissance permet de mieux cerner les spécificités de ce baladeur. Une expérience à tester au moins une fois !

Pour aller plus loin avec le DX200

A l’heure actuelle, le baladeur ne permet pas d’accéder au play store de Google. Si vous souhaitez installer des applications de streaming, ou même des applications tout court, vous devrez passer par le navigateur intégré et les télécharger dans dossier « downloads ». Il faudra ensuite les installer manuellement depuis l’application citée.

Le système d’ampli amovible est identique à celui du FiiO X7.

La connexion wifi n’interfère pas avec le circuit audio, et c’est une très bonne chose. De plus la qualité d’émission/réception est très satisfaisante, même loin du point d’accès vous pourrez continuer à streamer votre musique sans craindre de perdre le réseau.
Comme sur les autres baladeurs du genre, le bluetooth n’a aucun impact négatif sur l’autonomie du iBasso DX200, ce serait même plutôt l’inverse. Non compatible avec le protocole APT-X HD (ce qui est bien dommage) la qualité de restitution est un peu moins bonne qu’en filaire, mais une fois en extérieur le gain en confort n’est pas négligeable, le DX200 étant plutôt massif.

L’autonomie d’ailleurs, se situe autour des 8-9h en lecture continue. Branché à un casque plutôt léger (un Meze 99 Classics) wifi branché, le volume presque à la moitié, nous avons atteint plusieurs fois le mur des 9h. La recharge prends environ 2h via un chargeur standard, nous n’avions pas de chargeur compatible quick charge sous la main à l’heure du test.

Pour conclure

Alors que dire sur le nouveau baladeur iBasso ? Finalement seul quelques points sont pour nous pénalisants : son aspect un peu trop massif,l’impossibilité d’accéder au play store actuellement et surtout la présence d’un unique port micro SD.
Au niveau du son, rien à redire, c’est très propre, dynamique comme jamais et sa signature neutre en font le compagnon parfait de l’audiophile exigeant.
La fluidité de l’interface a de quoi surprendre et nul doute que si iBasso continue de faire évoluer le logiciel il se placera sans effort parmi les meilleurs baladeurs de l’année.

Il ne prendra pas la place du FiiO X5iii sur le podium du qualité/prix, mais au niveau du son il le surpasse aisément et joue plutôt dans la cour des Astell&Kern et autre Cowon/Sony. Proposé sous la barre des 1000€, le iBasso DX200 est destiné à ceux qui privilégient le son sur la forme. Pour eux, impossible de se tromper, le DX200 est le meilleur choix possible.

10 ans déjà !

www.audiogarden.fr

Haja Écrit par :

Musique, matos, gadgets. On mixe le tout, et hop !

5 Comments

  1. WoO
    28 février 2017

    Erratos:
    1. le DX100 était le DX100 dans le monde entier ; Le HDP-R10 était destiné au marché japonais uniquement, et n’avait ni le même firmware ni le exactement le même hardware.
    2. Le DX100, contrairement à ses concurrents directs, coûtait moins de 1000€. 829$ après avril 2012, et il y avait eu des prix pour les premiers acheteurs de 699$ en janvier puis 759$ en février-mars.

    • Bonjour WoO,

      merci pour votre retour (on sent la passion par ici).

      1. la version Hibino n’avait que de très légères différences au niveau hardware par rapport au iBasso. Je me rappelle avoir eut les deux pendant un bon moment et dur de faire la différence niveau son. Il est d’ailleurs toujours possible de se procurer (avec un peu de recherche) des iBasso labelé HDP-R10 (comme ici par exemple https://www.youtube.com/watch?v=Pdgy-zDyr2Y)
      Au niveau du firmware, depuis la 1.4.2 les deux baladeurs partagent la même interface 😉

      2. Le prix en dollar était effectivement à moins de 1000€, mais en Europe, le MRSP était de 999€ (et oui la fameuse balance 1$<1€ n’était pas respecté, comme les appareils photos)

      3. Vous avez raison ! C’est une erreur et voila qui est corrigé 😉

      4. Je vais me faire des ennemis, mais je ne suis pas vraiment convaincu par le rodage des appareils du genre. Personnellement je considère que c’est plutôt l’oreille qui s’habitue à force. Après, sur des gros amplis sédentaires… il y encore débat !

  2. WoO
    28 février 2017

    3. Il n’y a jamais eu d’entrée ligne analogique sur le DX100, seulement une sortie ligne analogique, en plus de numériques optique et coaxiale.

  3. WoO
    28 février 2017

    Vu les commentaires sur le son, et les conclusions finales, je doute que le DX200 que vous avez testé ait eu beaucoup d’heures de rodage…

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